✣ What about you ? _____________________________________________________
NOM(S) ET PRENOM(S) ✣ALECTO, KATHERINE HARPER. Un prénom pas commun et un patronyme qui lui l'est un peu plus. Katherine fut sans doute pour contraster avec la rareté qu'est Alecto et n'est pas plus mal d'ailleurs. Bien que souvent questionnée sur son prénom, Alecto l'apprécie énormément. Katherine est le prénom de sa tante décedée avant sa naissance, peut-être vient-il de là ? Quant à Harper, c'est le patronyme de sa mère.DATE DE NAISSANCE ET ÂGE ✣13 MARS 1985, 25 ANS.Et oui, déjà les vingt-cinq années d'atteintes, mais ce n'est pas ça qui lui fait peur, à vrai dire, elle s'en fiche pas mal des années qu'elle prend. Après tout, avec chaque année de prise, une aprt de sagesse ne s'ajoute-t-elle pas ? Puis l'âge, ça ouvre des portes aussi, ça ne fait pas que de les fermées.STATUT ✣CELIBATAIRE.Que dis-je ! Célibataire endurcie même. Alecto n'est pas trop amour, gnagna, la vie et rose et les oiseaux chantent pendant que tu me fais la cour. Au contraire, elle rêvait depuis gamine d'une vie de célibataire, tranquille, avec un emploi qu'elle aimerait faire et deux trois animaux qui seraient sa compagnie et quelques voyages de çi de là. Elle n'aime pas trop rendre des comptes aux gens et devoir se laisser de côté ou faire des concessions, après tout, chacun son point de vue. Mais y paraît que les sentiments s'accrochent à vous et ne vous laisse jamais filer. L'amour, une vraie sensue.EMPLOI ET /OU ETUDES ✣DETECTIVE PRIVE.Elle était agent fédéral avant mais la vie vous mène souvent à d'autres chemins ... Puis être détective, c'est tout aussi intéressant et passionnant pour elle. Peut-être pas exactement ce qu'elle voulait faire mais on a pas toujours ce qu'on veut.TRAITS DE CARACTERE ✣Sarcastique, imprévisible, fonceuse, dynamique, compliquée, hyperactive, intelligente, impulsive, réfléchie, rusée, maligne, bordélique, mystérieuse, indécise, drôle, pessimiste, franche, manque de délicatesse, compréhensive, menteuse, mystérieuse, peu sociable, arrogante, réservée, méfiante, créative, adorable, affectueuse, impatiente, rancunière, modeste, perfectionniste, lunatique, aimable, gourmande (...)
✣ Now, just stop hiding ! _____________________________________________________
CELEBRITE SUR L'AVATAR ✣ ANNA TORV. Mon énorme coup de coeur du moment.AVEZ-VOUS PRIS UN SCENARIO ? ✣Absolument pas.VOTRE PSEUDO ET ÂGE ✣Red Shade, 16 ans.POSSEDEZ-VOUS D'AUTRES COMPTES SUR LE FORUM ? ✣Yep, un seul. Red-Lysaël C. CODE DU REGLEMENT ✣Dirty Secret.COMMENTAIRES ? ✣Rêvant d'un perso avec Anna depuis pas mal de temps, me voici donc avec. Et bientôt très active avec les deux, ce dès que Belgacom viendra réparer ma connexion internet. [/size]
Dernière édition par Kate Franchart le Jeu 4 Sep - 1:00, édité 1 fois
Kate Franchart • C'est moi qui donne les ordres
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Sujet: Re: BLABLAAAAdkdkd Sam 13 Nov - 10:29
Prénom Prénom2 Nom
featuring Avatar.
→ LE FACTEUR
Nom : Prénom : Surnom : Lieu de naissance : Date de naissance : Âge : Quartier habité : Wisteria Lane Water Lane Woodgreen Lane Wander Lane
→ LA COULEUR DE TON CHOIX
Répondez à ces questions en quelques lignes. Pas la peine de faire de gros paragraphes pour chaque questions, ne répondez qu'assez pour que nous connaissions l'avis de votre personnage. (Pour la question 3, vous devez ajouter le mot checked à la suite du "a" dans le code, pour cocher les réponses de votre choix. exemple: < input type="checkbox" name="nom_variable" value="a" checked >)
1) QUE PENSEZ-VOUS DE VOS VOISINS EN GÉNÉRAL ? Réponse ici.
2) QUELLE EST LA DESCRIPTION D'UN VOISIN IDÉAL SELON VOUS ? Réponse ici.
3) CES CHOSES SONT POUR VOUS D'UNE GRANDE IMPORTANCE ...
La beauté intérieure La nature La bonne entente au sein d'une famille et d'un voisinage La franchise La beauté extérieure L'attention que l'on porte à son jardin, sa maison La politique L'argent Avoir une grosse maison, une belle voiture, une pelouse bien verte La bonne cuisine L'entraide entre voisins Avoir un amant/une maîtresse Raconter le plus de ragots possible Tout savoir sur vos voisins Manger en famille le soir, au moins trois fois par semaine Posséder un animal de compagnie L'alcool La littérature et la langue Le mariage
4) SELON VOUS, QUE PENSENT VOS VOISINS DE VOTRE FAMILLE ? Réponse ici.
5) VOTRE PETITE ROUTINE QUOTIDIENNE RESSEMBLE À ... Réponse ici.
6) TROIS CHOSES QUE VOUS APPORTERIEZ SUR UNE ÎLE DÉSERTE ... Réponse ici.
7) QUEL EST VOTRE PLUS GRAND DÉFAUT ? ET VOTRE PLUS GRANDE QUALITÉ ? Réponse ici.
→ LES VALSES ET LES CHANSONS TRISTES
Écrivez ici l'histoire de votre personnage, ou un événement important de sa vie, sous la forme de votre choix. (Journal intime, anecdotes, histoire traditionnelle etc.) Nous devons en apprendre suffisamment sur le caractère de votre personnage, son physique, ses manières etc. L'ensemble de cette partie doit faire plus de 30 lignes.
→ LA DANSE DU ROBOT
Pseudo : Pays et âge : Crédits : D'ou connaissez-vous FML : Commentaires :
Kate Franchart • C'est moi qui donne les ordres
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Sujet: Re: BLABLAAAAdkdkd Sam 13 Nov - 11:14
PRENOM + NOM [img][/img]
✂ IDENTITY
✎ NOM ✎ PRÉNOM : ✎ AGE : ✎ STATUT SOCIAL : ✎ GRADE : ✎ SPÉCIALITÉ : ✎ CARACTÈRE : (5 traits minimum)
✂ CURRICULUM VITAE
Pour cette série de questions répondez le plus brièvement possible. Nous demandons tout de même deux lignes minimum à chaque réponses. ( à effacer )
QUEL GENRE D'INTERNE ÊTES VOUS ? pour les internes: écrire ici QUEL GENRE DE RÉSIDENT ÊTES-VOUS ? pour les résidents: écrire ici QUEL GENRE DE TITULAIRE ÊTES-VOUS ?: pour les titulaires: écrire ici QUEL GENRE DE CHEF ÊTES-VOUS ?: écrire ici POURQUOI AVOIR VOULU EXERCER DANS LE DOMAINE MÉDICAL ?: écrire ici PIRE SOUVENIR DANS CET HÔPITAL: écrire ici MEILLEUR SOUVENIR DANS CET HÔPITAL: écrire ici
Kate Franchart • C'est moi qui donne les ordres
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Sujet: Re: BLABLAAAAdkdkd Dim 19 Déc - 10:09
Romy Simmons a écrit:
(c) escapingtourist, tumblr.
WHAT ABOUT YOU?
NOM & PRENOMS ● Romy Hazel Simmons. DATE DE NAISSANCE, LIEU & AGE ● Née le 18 avril 1990 dans un petit village du Texas (Valley Mills), elle a donc vingt-et-un ans. STATUT ● Célibataire. EMPLOI ● A la fin de sa seconde, elle a quitté le lycée pour suivre des cours par correspondance. Un diplôme en poche, elle n'a pas souhaité continuer à l'université. Elle ne vit donc que de petits boulots. Actuellement, elle se retrouve en pleine recherche d'un emploi. TRAITS DE CARACTERE ● Douce, moqueuse, cynique, réservée, ironique, naturelle, curieuse, rancunière, franche, discrète, angoissée, jalouse, peu bavarde, paranoïaque, observatrice, active, déterminée, têtue, sociable mais bien souvent introvertie, intelligente, réaliste, serviable, impulsive, rêveuse, placide, modeste, méfiante, peu sûre d'elle, forte, loyale, fidèle, à l'écoute (...)
AND IF WE WANNA KNOW MORE?
DEPUIS COMBIEN DE TEMPS HABITEZ-VOUS A OCEAN GROVE ? ● Je n'ai posé les pieds à Ocean Grove que depuis un mois environ. Je crois que cela fait bien longtemps que je ne me suis pas posée officiellement quelque part, ou du moins pour une durée assez longue en comparaison à mes derniers séjours. Après avoir quitté la maison familiale à l'aube de mes dix-huit ans, j'ai pas mal bougé. Finalement, j'ai finis par avoir besoin d'un peu de stabilité. Ma...ma tante a bien voulu m'ouvrir les portes de sa résidence secondaire puisqu'elle ne l'occupe que durant l'été. QUELLE EST VOTRE IMPRESSION SUR CE QUARTIER RÉSIDENTIEL, SES HABITANTS, ETC ? ● Calme, frôlant la perfection si on ne juge que sur l'apparence. A mon arrivée dans le quartier, j'ai tout de suite été interpellé par l'accueil de la plupart de mes nouveaux voisins. Ils semblaient tous se réjouir de voir un nouveau visage et pourtant, j'avais aussi l'impression qu'ils guettaient le moindre de mes faits et gestes afin de me cerner. Est-ce que la nouvelle était une dingue, une droguée ou pire encore ? S'ils se plaisent à être curieux, ils savent bien souvent l'être en toute discrétion. Je n'ai jamais vécu dans un quartier résidentiel tel que celui-ci, je n'ai jamais été habituée à cette vie quasi parfaite. J'ai parfois du mal à trouver ma véritable place, mais je viens seulement d'arriver alors, peut-être qu'avec le temps, cela changera... En tout cas je l'espère. Au delà de toutes ces petites choses, Ocean Grove est un lieu agréable, je n'ai rien d'autres à dire pour le moment mais reposez-moi la question dans quelques mois, sans doute que mon opinion aura évolué. QUEL EST LE PLUS GROS REGRET DE VOTRE VIE ? ● J'estime être encore jeune pour avoir d'immenses regrets. Pour sûr, j'ai fait certaines choses que je n'aurais pas dû mais on dit que l'erreur est humaine, c'est dans notre nature de commettre des impairs, ça nous fait grandir apparemment. Dans quelques années, peut-être que j'aurais une idée précise de ce que je pourrais réellement regretter, mais pour l'heure, j'ai plutôt la conscience tranquille... COMMENT VOUS IMAGINEZ-VOUS MOURIR ? ● Dire que je n'ai jamais pensé à la mort serait un énorme mensonge de ma part. En réalité, j'y pense assez souvent. Je ne vais pas jusqu'à envisager ma fin dans les moindres détails, après tout c'est bien le genre de chose qu'on ne peut pas contrôler sauf si on désire en finir, ce qui n'est pas mon cas. J'imagine ma mort comment étant un moment le plus banal et qui ne changera la vie que de quelques petites personnes que j'aurais pu toucher au cours de mon existence. Je n'aime déjà pas me mettre en avant en étant vivante, alors ma mort sera une mort parmi tant d'autres. AVEZ-VOUS DES PARTICULARITÉS, DES MANIES OU AUTRES ? ● Elle est née dans un petit village du Texas nommé Valley Mills avec environ 1,108 habitants. La poussière, les chevaux, les cowboys... Une vraie retranscription d'un vieux western, quitte à se demander s'ils ne sont pas restés à cette période d'ailleurs. ❧ Elle est fille unique, son père est dresseur de chevaux sauvages, sa mère est institutrice. ❧ C'est une femme excessivement curieuse. Non pas guidée par l'envie de connaitre le moindre petits secrets d'une autre personne, mais curieuse du monde dans lequel elle vit. Elle ne cessera jamais de se poser des questions concernant les choses les plus ordinaires et qui, pourtant, méritent qu'on s'y intéresse de près. ❧ Elle ne croit pas spécialement en Dieu (ou en un homme qui pourrait tirer les ficelles), elle semble pourtant persuadée qu'il y a bien quelque chose de supérieur à eux. ❧ Elle aime observer les étoiles et se perdre dans l'immensité qu'est l'univers. ❧ Peut-être un peu artiste dans l'âme, elle s'est découvert une passion pour l'écriture durant son adolescence. ❧ En bonne texane, elle adore la country music. Son père lui a transmis sa passion pour la guitare sèche. ❧ Au delà de ce qu'elle peut laisser voir, elle est surtout une personne un peu perdue et qui doute sans arrêt. Elle se pose beaucoup trop de questions et a bien souvent la sensation qu'elle vient d'une autre planète. ❧ Elle ne supporte pas qu'on la juge d'une manière hâtive. ❧ Petite, elle était sûre d'être en contact avec les esprits, en réalité ce n'était que le fruit de son imagination. ❧ Paradoxalement, elle est très terre à terre mais aussi très rêveuse. Peut-être un peu pessimiste sur les bords, elle porte un jugement très radical sur la société d'aujourd'hui et pourtant, cela ne l'empêche de rêver à quelque chose de meilleure. ❧ Bien qu'elle apprécie rencontrer de nouvelles personnes, elle ne se sent à l'aise qu'une fois qu'elle est seule ou avec des personnes qui lui sont très proches. ❧ Romy écoute plus qu'elle ne parle. Elle préfère être l'épaule sur qui on aime se poser plutôt que l'inverse. Elle déteste le sentiment d'être vulnérable et faible. ❧ Elle n'est pas très fêtarde, mais se prête au jeu lorsque c'est nécessaire. ❧ Elle a la sale manie de ne pas terminer ses phrases, comme si elle attendait que son interlocuteur sonde ses pensées et devine la suite. C'est souvent bien agaçant pour la personne en face. ❧ La jeune femme a constamment le sentiment de ne pas être en sécurité. Elle ne laisse bien sur rien paraitre, mais sa paranoïa parfois très poussée l'empêche de sortir de chez elle, seule. Elle s'imagine toujours le pire mais généralement, elle arrive à se raisonner. ❧ Romy n'est pas bien coquette, elle est habituée à sortir sans maquillage ou dans la plus simple des tenues. Pour elle, l'important c'est d'être à l'aise. ❧ Quelques jours après son emménagement à Ocean Grove, elle a adopté un chien ; un golden retriever qu'elle a nommé Jazz. ❧
Spoiler:
NOW, JUST STOP HIDING!
AVATAR ● Kristen Stewart :**: SCENARIO ? ● Non. ID. ● Petit mousqueton qui a vingt printemps. :bigsmile: MULTINICKS ? ● Droguée, donc forcément CODE DU REGLEMENT ● ahahah (: COMMENTAIRE ? ● Petite pensée pour ma Bibienne quej'aimeénormémentetquimemanquerac'estcertain :hug: Que dire ? Ne martyrisez pas trop ma petite paysanne texane sinon ça va mal aller :evilaugh:
Kate Franchart • C'est moi qui donne les ordres
Messages : 82 Date d'inscription : 19/04/2009
Sujet: Re: BLABLAAAAdkdkd Mar 28 Déc - 4:53
thanks for the memories.
CHAPTER ONE ❝ of two sisters one is always the watcher, one the dancer. ❞
Ocean Grove — 1997
« C’est pas bientôt fini ? » geignit Jacey Gallagher à sa sœur aînée. Cela faisait plus de deux heures qu’America avait fait de Jacey sa prisonnière et la pouponnait, après avoir longuement supplié sa mère de la laisser s’occuper de l’apparence de sa petite sœur. Les Gallagher devaient se rendre à l’événement le plus attendu de l’époque, le mariage des Windsor. Tout le monde en parlait depuis des mois et l’événement avait été l’objet des rumeurs les plus folles quant à son déroulement. Toutes les personnes importantes étaient invitées, et, bien entendu, les Gallagher en faisaient partie. Joshua et Maggie Gallagher étaient parvenus à se forger une renommée et une notoriété non négligeables, grâce à leurs carrières respectives de producteur et de présentatrice. Dans le quartier, dans toute la ville, voire dans tout l’État et même le continent, leurs noms étaient familiers à quiconque ne vivait pas dans une cabane au fin fond de leur jardin. Oui, les Gallagher menaient la belle vie, et avaient entrainé leurs deux filles dans celles-ci. Amy se réjouissait de toutes ces occasions dont elle profitait pour se pomponner, mettre ses plus jolies robes et adresser son plus joli sourire à tous ceux qu’elle croisait. Elle adorait sentir les regards sur elle, être la star, le point d’attention. Maggie avait toujours dit que son aînée finirait comme elle, sous le feu des projecteurs. Quant à Jacey… elle était tout à l’opposé de sa sœur, plus discrète, plus réservée, plus timide, aussi. Toutes les deux possédaient un charme indéniable et on pouvait déjà dire avec certitudes qu’elles deviendraient des jeunes femmes époustouflantes, de par leurs tempéraments respectifs et leur beauté remarquable. Amy avait toujours tenté d’intéresser sa cadette au monde de la mode, du strass et des paillettes – en vain. Mais elle adorait aussi s’occuper d’elle, la relooker, l’aider à se préparer pour ces événements qui la réjouissaient bien plus que Jacey. Loin de s’arrêter à leurs différences, les deux sœurs se complétaient à merveille, et profitaient de ces moments qu’Amy appelait bonheur, et Jacey torture, pour resserrer leurs liens déjà solides. « Si t’arrêtais de gigoter comme une tarée, j’en aurais déjà terminé – ne bouge pas ! Sinon je vais finir par te planter une épingle dans l’œil, espèce de folle. » Malgré le ton impatient qui perçait dans la voix chantante d’Amy, on y décelait tout l’attendrissement et l’affection qu’elle éprouvait pour Jacey. Elle releva une mèche de cheveux sur la nuque de Jacey et la fixa à l’aide d’une épingle d’argent. Elle contempla le résultat, les sourcils froncés, puis, visiblement satisfaite, s’empara d’une bombe métallique et prévint sa sœur : « Ferme les yeux et ne respire pas, d’accord ? » « Tu me laisses le choix ? » Jacey n’eut pas besoin de tourner la tête pour sentir sa soeur réprimer avec difficulté un soupir exaspéré. « D’accord, mais pas trop, hein… » Bien que Maggie eût été formelle et posé son veto sur l’usage de la laque, Amy n’en faisait qu’à sa tête et aspergea donc la chevelure de jais de Jacey, afin de fixer sa coiffure. Lorsque Jacey ouvrit à nouveau les yeux, toussotant à cause de l’odeur du produit, Amy sourit au reflet de sa cadette et l’embrassa sur la joue. « Mets la robe jaune, c’est celle qui t’ira le mieux. J’en mettrai une orange, comme ça, on sera assorties. Et, par pitié, enfile la par le bas, j’ai pas envie de passer deux autres heures à te coiffer ! » Amy décrocha son plus beau sourire à Jacey, puis se leva et laissa celle-ci devant sa coiffeuse. Elle jeta un coup d’œil à la robe jaune, déposée par leur bonne sur le lit de Jacey, et s’assura de l’état de celle-ci. « Amy… T’es folle. » America posa son regard vif sur sa soeur, sembla ne pas réagir pendant quelques secondes puis sourit de plus belle. « Et toi, tu le deviendras. » Munie d’une mine facétieuse, la préadolescente fit volte-face et partit en direction de la porte d’un pas sautillant. « Si t’as besoin de moi, tu sais où me trouver, sœurette. » Un dernier sourire, et la voilà partie essayer la dizaine de robes qu’elle avait sélectionnées pour cette journée exceptionnelle.
the kooks — do you wanna
CHAPTER TWO ❝ true love is when you put someone on a pedestal, and they fall -
but you are there to catch them. ❞
Ocean Grove — 2000
Le « bip » d’allumage retentit faiblement, et Jacey rabattit l’aile de la caméra vers elle pour se voir pendant qu’elle se filmait. Elle appuya sur la touche enregistrer et aussitôt, son minois angélique apparut sur le petit écran. Du haut de ses quatorze ans, Jacey avait déjà un physique assez semblable à celui de sa grande sœur – presque aussi grande, un corps svelte aux formes généreuses malgré la danse, sa passion. Jamais les deux sœurs ne s’étaient autant ressemblé, malgré leurs styles vestimentaires radicalement opposés. Jacey semblait avoir miraculeusement échappé à la folie des grandeurs de sa sœur, chez qui ce symptôme se manifestait pour deux. Aussi douce, discrète et réservée qu’auparavant, Jacey commençait cependant à s’ouvrir et à s’épanouir, pour le plus grand plaisir d’Amy qui était ravie de voir sa sœur enfin prendre soin d’elle, se mettre en valeur. Malgré toute la place qu’elle aimait prendre, America n’avait jamais cherché à éclipser sa cadette et s’était toujours chargée de la coacher et de l’aider à s’ouvrir vers les autres. Amy était ravie de voir que sa petite sœur avait enfin tiré profit de toutes les discussions qu’elles avaient eu, d’autant plus que ce faisant, elles avaient considérablement renforcé leur relation. Jacey avait, comme Amy l’avait prédit, commencé à devenir plus folle, manifestant autant d’humour que sa sœur mais avec plus de douceur et de gentillesse. La façade sombre d’Amy, égoïste, manipulatrice, menteuse, hypocrite, arrogante et sarcastique, ne semblait pas encore avoir fait son apparence chez Jacey, et c’était tant mieux. Jacey conservait cette innocence et cette douceur qui semblait souvent manquer chez Amy. Il suffisait de regarder les petits films qu’elle s’amusait à enregistrer, et les réactions de son aînée à ceux-ci. « C’est moi… encore. » Un grand sourire aux lèvres, Jacey dirigea la caméra dans la direction opposée, filmant la luxueuse salle de séjour des Gallagher. « Et ça, c’est chez moi. Faut dire que mes parents se sont fait plaisir en achetant cette maison, on se croirait dans un film. Tiens, d’ailleurs, voilà maman… Dis bonjour, maman ! » Un léger sourire aux lèvres, Maggie Gallagher fit signe à l’objectif avant de se replonger dans ses papiers, vêtue d’un élégant imperméable, visiblement prête à partir. Joshua Gallagher fit son entrée quelques secondes plus tard, les lacets encore défaits, son écharpe de cachemire mal attachée. Lorsqu’il aperçut sa fille cadette, caméra à la main, il lui adressa un sourire radieux. « Jacey chérie, on est partis. Je compte sur Amy et toi pour ne pas faire de bêtises. Il reste du ragoût dans le frigo, et sinon, on vous laisse de l’argent pour commander quelque chose. » « On sera irréprochables, papa, ne t’en fais pas. » répondit Jacey d’une voix malicieuse. «C’est bon, papa, c’est pas la première fois qu’on est seules à la maison, on survivra. » Joshua posa son regard sur le coin opposé de la pièce pour y apercevoir Amy, fixant la télévision, sa tête aux boucles de jais paresseusement appuyée contre le torse d’Adrian, son petit ami, qui leva les yeux vers son futur beau-père. « Ah, salut, Adrian – je ne savais pas que tu serais là. On laissera un peu plus d’argent pour que vous puissiez commander pour trois, alors ! Et Amy, ta bonne humeur fait toujours plaisir à voir… » Un sourire amusé aux lèvres, Joshua adressa un clin d’œil à Adrian alors qu’America, visiblement excédée, se cala plus confortablement contre son petit ami, qui lui caressait paresseusement les cheveux. « C’est très gentil, M. Gallagher, vraiment. Bonne soirée, et à vous aussi, Mme Gallagher. » À côté de lui, Amy ronronna, visiblement ravie de voir Adrian aussi parfait, comme d’habitude. Adrian était le prototype parfait du garçon modèle que toutes les mères d’avoir pour beau-fils. Amy et lui sortaient ensemble depuis… depuis quand, déjà ? Personne ne s’en souvenait exactement. Amy et Adrian étaient en couple, voilà tout. Ils l’étaient, l’avaient toujours été et le seraient probablement à jamais. Amy était folle amoureuse d’Adrian, de son sourire charmeur, son corps sportif, ses yeux pétillants et enjôleurs, ses fossettes, son rire discret mais si communicatif, ses cheveux en bataille qui lui donnaient un air enfantin et la manière dont il la regardait – comme s’il était un enfant qui découvrait le monde pour la première fois. Amy était heureuse avec lui, et il allait de soi que ce serait avec lui qu’elle ferait sa vie. Elle avait déjà tout prévu : elle ferait d’abord ses études de journalisme, alors que lui s’adonnerait à l’activité de son choix, mais suffisamment près d’elle pour pouvoir lui faire l’amour tous les soirs. Elle aurait ses trois enfants avec lui : d’abord deux jumeaux, qui s’appelleraient Ethan et Noah. Puis une petite fille, trois ans plus tard, Lily. Elle n’en avait pas encore parlé à Adrian, mais ça ne saurait tarder – après tout, aujourd’hui serait le grand soir : elle ferait enfin l’amour avec lui, ses parents ne rentreraient pas avant des heures et Jacey s’amuserait avec sa caméra assez longtemps pour les laisser tranquilles. Elle avait déjà disposé toutes les bougies parfumées qu’elle avait et enveloppé ses lampes de tissus pour une lumière tamisée. Fraîchement épilée, elle avait passé une heure à appliquer une crème gommante pour avoir une peau encore plus douce, et elle avait acheté un ensemble de lingerie en dentelle noire, parce qu’elle savait que c’était ce qui excitait le plus Adrian. Ce soir, elle serait enfin femme… Mais elle fut tirée de ses rêveries par Jacey, qui avait repris le cours de son documentaire stupide. « Et voilà ma sœur complètement névrosée, America, et Adrian, son copain trop gentil pour elle… » Alors qu’Adrian éclata de rire, Amy attrapa un coussin et le lança sur Jacey, qui l’évita habilement. « Tais-toi ou je te fais manger ce truc de malheur ! » Jacey recula de quelques pas, tous sourires. « Et visiblement, Amy n’est pas de bonne humeur aujourd’hui, mais ça va, j’ai l’habitude de ses menaces, elle me les sert tous les jours. » Alors qu’Amy poussa un cri de rage, s’apprêtant à se lever, Jacey sortit précipitamment du salon, riant aux éclats. Amy ne remarqua pas le regard attendri que lui lança Adrian, et même si c’eût été le cas, elle ne s’en serait pas formalisée : après tout, Adrian connaissait Jacey depuis toujours, et il était devenu comme son grand frère…. Pas vrai ? Adrian n’aimait qu’Amy, et personne d’autre. America le savait, et elle en aurait une preuve supplémentaire ce soir. Une lueur malicieuse dans les yeux, elle se redressa face à son petit ami, avant de l’enjamber pour se mettre à califourchon sur lui. Visiblement agréablement surpris, Adrian sourit à sa petite amie, qui se pencha vers lui. « Je veux le faire… ce soir. Rejoins-moi en haut dans cinq minutes. » Elle l’embrassa furtivement et se précipita à son tour vers sa chambre, où elle alluma rapidement les bougies et les lampes, et se débarrassa de sa robe, sous laquelle elle portait son ensemble fraichement acheté. Elle s’assit sur le bord de son lit aux draps de satin bleu au moment où Adrian entra. Il resta coi quelques instants, ne s’attendant visiblement pas à ça. Une lueur d’inquiétude et d’hésitation sembla voiler quelques instants son regard, mais Amy n’en remarqua rien, bien trop nerveuse pour prêter attention à ce genre de détails. Elle se leva, ravie de voir qu’Adrian ne pouvait détacher les yeux de son corps de rêve. Tout en déboutonnant la chemise d’Adrian, elle murmura sensuellement : « Je t’aime, Adrian… » Bien trop absorbée par sa tâche, elle ne réalisa pas qu’elle n’obtint aucune réponse.
chiddy bang — opposite of adults
CHAPTER THREE ❝ popularity is the easiest thing in the world to gain
and it is the hardest thing to hold. ❞
Ocean Grove — 2000
« 3…2….1… » Les sourcils froncés et un grand sourire aux l§vres, Amy fit sauter le bouchon alors que Becca Forbes se précipita pour mettre une flûte sous la bouteille de champagne, qui coulait à flots. Toute la classe de freshmen du lycée privée auquel se rendaient Amy et le reste de la jeunesse dorée avait été invitée à cette soirée, qui avait été organisée dès que les parents d’America eurent quitté les lieux pour se rendre à un événement quelconque à New York. Et quand le chat est parti, les souris dansent…. La luxueuse maison des Gallagher avait, malgré sa façade en apparence similaire aux autres demeures du quartier, la particularité de posséder un gigantesque jardin, avec véranda et piscine. Il faisait chaud, les filles se pavanaient en bikini et les garçons ne se gardaient pas d’exhiber leurs pectoraux fraichement sculptés au cour de l’été tout juste écoulé. Elle-même vêtue d’un somptueux faux deux-pièces d’une intense couleur or, Amy se faufila parmi la vingtaine de personnes présentes et rejoignit Adrian pour trinquer avec lui. Elle le fixa longuement, un léger sourire aux lèvres. « À ta santé, mon amour… » Elle passa un bras autour de la nuque d’Adrian et l’embrassa à pleine bouche, à peine consciente de toutes les personnes présentes – d’ailleurs, les regards rivés sur elle lui faisaient plaisir. Elle se sentait importante, admirée, jalousée mais tellement aimée. Lorsqu’elle se décolla de lui, elle murmura, le regard pétillant : « Je t’aime, Adrian…. » Le jeune homme lui sourit, la serra contre lui et l’embrassa avec douceur. « Moi aussi… » Une lueur satisfaite habilla le regard d’Amy, et elle s décolla de son petit ami pour rejoindre les autres fêtards, roulant des fesses en remarquant qu’il avait le regard posé sur elle alors qu’elle s’éloignait. Elle contempla le spectacle satisfaisant d’une fête réussie : America Gallagher n’avait aucunement besoin d’organiser un événement gigantesque, auquel tout le monde était invité, pour faire parler d’elle. Non, ses soirées en petit comité étaient des plus prisées et toutes les jeunes filles – et même jeunes hommes – du lycée espéraient plus ou moins secrètement y être conviés, parce qu’être invité par America, c’était un laisser-passer assuré pour la popularité et le feu des projecteurs. Amy faisait mieux que représenter l’élite : elle était celle qui la déterminait, qui la choisissait et la formait. Aussi populaire qu’enviée, Amy faisait l’objet des plus folles rumeurs et de l’attention de tous. Difficile de savoir si elle était plus détestée qu’appréciée ou le contraire : une chose est sûre, personne n’osait lui tenir tête ou lui avouer ses torts. S’opposer à America Gallagher signifiait renoncer à toute chance de faire un jour partie de son cercle privé, et donc, de l’élite. Difficile donc de savoir qui, parmi ses plus proches amies, l’appréciait sincèrement et qui jouait les hypocrites – bien entendu, il y en avait bien plus de la seconde espèce que de la première. Il n’était donc pas rare d’entendre des manifestations d’amour ou d’admiration parmi les amis d’Amy : tous les moyens étaient bons pour s’attirer ses bonnes faveurs. Et ça, Joan McKinley l’avait parfaitement compris, c’est pourquoi elle brandit son verre et s’écria. « À Amy, sans qui les soirées à Miami ne seraient décidément pas ce qu’elles sont ! » Et les autres de répéter à l’unisson : « À Amy ! » Si America en avait été capable, elle se serait mise à ronronner, plus de satisfaction que d’émotion. Elle se contenta d’un sourire éclatant et brandit son verre comme pour remercier ses amis… jusqu’au moment où Nathan Ramsey, le meilleur ami d’Adrian, l’attrapa par la taille et l’entraîna avec lui dans l’eau tiède de la piscine, ruinant ainsi le brushing de la jeune adolescente. Celle-ci revint à la surface, faussement outrée, et en s’écriant : « Espèce d’imbécile, tu vas le regretter ! ». Elle se jeta sur lui, tentant de le couler sans grand succès. Un sourire narquois aux lèvres, l’intéressé répliqua : « Il faudra plus que ça pour me faire sombrer, beauté… » America, quant à elle, fit mine d’être piquée au vif, alors qu’en réalité, elle ne faisait que s’assurer qu’elle était bien au centre de l’attention de tous. Et c’était le cas – tout le monde la fixait, visiblement dépassés par les événements qui venaient de s’enchaîner, pour le plus grand plaisir d’Amy.
death cab for cutie — the ice is getting thinner
CHAPTER FOUR ❝ each betrayal begins with trust. ❞
Ocean Grove — 2002
« Jacey, Jacey, tu dois voir un truc ! C’est dingue ! » Amy s’engouffra, hors d’haleine dans la maison des Gallagher. Elle venait de rentrer de ses vacances, deux semaines au Brésil avec Becca, sa meilleure amie. Sa peau était plus bronzée que jamais et elle semblait avoir perdu encore quelques kilos, plus belle que jamais. Elle monta l’escalier en courant et ouvrit à la volée la porte de la chambre de Jacey, sans prendre la peine de frapper – ce qu’elle aurait dû faire… Car elle tomba nez à nez avec Adrian, qui s’était visiblement brusquement écarté de Jacey. En plus de l’expression coupable que tous deux arboraient, la chemise entrouverte d’Adrian et la jupe remontée sur les cuisses de Jacey ne laissaient guère de place au doute. Amy resta sur le pas de la porte pendant quelques instants, figée et incapable d’émettre le moindre son. Puis, elle sembla réaliser. « Non… » Les larmes lui montèrent aux yeux, et elle fit volte-face, dévalant cette fois-ci l’escalier dans l’autre sens, et une seconde plus tard, la porte d’entrée claqua.
quelques heures plus tard.
Les yeux rouges, Amy fixa le vide face à elle, assise sur un banc du Greynolds Park. Ses doigts fins jouaient avec le pendentif qu’Adrian lui avait offert lorsqu’ils avaient douze ans, hésitant à l’arracher et le lancer au loin. Elle ne parvenait toujours pas à réaliser ce qu’elle venait de voir, tentant de se persuader que ce n’était qu’un mauvais rêve. Mais elle se souvenait bien trop bien de l’expression surprise et coupable d’Adrian lorsqu’elle avait ouvert la porte de la chambre de Jacey. Jacey, sa sœur pour qui elle aurait été prête à mourir, malgré leurs chamailleries incessantes. Jacey, dont elle avait toujours su, au fond d’elle, qu’elle avait un faible pour Adrian et ce, depuis le début. Mais jamais Amy n’y avait prêté la moindre attention, persuadée que Jacey passerait outre – après tout, elle n’étais pas censée avoir d’autre choix, vu qu’Adrian sortait avec Amy. Elle les avait laissés tant de fois seuls, leur accordant à chacun une confiance aveugle… combien de fois en avaient-ils déjà abusé, et depuis quand ? Amy ne voulait même pas connaître la réponse. Elle remarqua à peine qu’une silhouette frêle s’assit à ses côtés, d’abord en silence. Puis, elle parla. « Je savais que je te trouverais ici, c’est là que tu viens chaque fois que tu te disputes avec Adrian. » Amy posa un regard empli de dégoût et de haine sur sa sœur, outrée que celle-ci puisse faire preuve d’un tel culot. « Dégage d’ici. Dégage, avant que je… » Elle n’eut même pas l’envie d’achever sa phrase elle détourna le regard, incapable de regarder sa sœur une seconde de plus. « Écoute, Amy, je suis vraiment désolée… Je voulais pas que tu l’apprennes comme ça, je comptais t’en parler… » Cette fois-ci, Amy explosa. « Quoi, parce que tu comptais me demander ma bénédiction pour te faire mon copain ? C’est quoi ton putain de problème, Jacey ? Tu me dégoûtes. » La voix emplie de haine, Amy s’était levée brusquement, peu désireuse de rester une seconde de plus, craignant que les larmes ne reviennent perler aux coins de ses yeux. « Tu sais quoi ? Tu peux prendre tes airs de sainte, faire semblant que t’es une gentille petite fille innocente et pleine de remords, mais je sais ce que tu es. Tu n’es qu’une traînée, une salope et une égoïste. Ne pense pas que c’est fini, tu vas le regretter. Et quand tu l’auras compris, tu pourras toujours me supplier pour te reprendre. » Elle plissa les yeux, et acheva : « Je n’ai pas besoin d’une pouffiasse de sœur qui est assez égoïste pour se taper les copains des autres… en particulier le mien. » Elle toisa Jacey, le dégoût déformant chacun de ses traits délicats, puis fit volte-face et quitta le parc.
le lendemain.
« Il faut qu’on parle. » Adrian se tenait dans l’encadrement de la porte de la chambre d’Amy, visiblement partagé entre la détermination et l’appréhension. Amy leva les yeux et toisa froidement le jeune homme, qui avança prudemment, conscient de ne pas être à l’abri d’une explosion de fureur. « Qu’est-ce que tu veux ? » Adrian s’assit aux côtés d’Amy, la regarda longuement et soupira. « Je suis désolé, Amy… » Elle pouvait dire au ton de sa voix qu’il était sincère. Malgré la colère et la rage qu’elle ressentait depuis la veille, elle n’était pas prête à tirer un trait sur cette histoire qui durait depuis plus de dix ans. Elle avait toujours prévu de passer toute sa vie à ses côtés, et elle l’aimait. Un long silence s’ensuivit, au bout duquel Amy finit par murmurer : « Ce n’était qu’une erreur, ça n’arrivera plus, pas vrai ? » Adrian soupira, visiblement peiné. « Amy, tu ne comprends pas… » Elle le regarda fixement. « Je regrette de t’avoir traitée comme ça, mais nous deux… » La mine glaciale d’Amy l’interrompit, et la fin de sa phrase se perdit. Elle plissa les yeux, tentant cependant de rester impassible, même si à l’intérieur, elle hurlait. « Quoi, tu comptes continuer à te taper ma sœur sous mes yeux ? Qu’est-ce que je t’ai fait pour mériter ça, Adrian ? Je t’ai toujours fait confiance, j’étais prête à tout pour toi, tu sais combien j’étais attachée à notre relation. Tu veux vraiment jeter dix ans à la poubelle parce que t’as besoin de changement ? » Adrian ferma les paupières et se mordit les lèvres. « Arrête, ça n’a rien à voir… » « C’est quoi, alors ? », s’emporta America, « Qu’est-ce que ma sœur a que tu n’as pas su trouver chez moi ? » Sa voix tremblait, et elle n’était même pas sûre de vouloir entendre la réponse. « Ce qu’elle a de plus ? Elle m’écoute, elle ! Elle s’intéresse à moi, elle est là pour moi sans rien demander en retour, elle me comprend. Alors que toi… » « Tu mens. J’ai toujours été là pour toi, tu as toujours été au centre de ma vie. » « Oui, à côté de tes milliers de comités, tes événements à organiser, tes robes à commander et tes complots à former ! » Adrian baissa les yeux. « Les choses ont changé, Amy. Tu sais aussi bien que moi que ce n’est plus comme avant. On a beau vouloir s’y accrocher, tu sais aussi bien que moi que ça ne peut plus marcher. » Il releva le regard, croisant celui d’Amy, qui s’efforçait toujours de rester impassible, bien qu’une froideur et une amertume évidentes habitent ses prunelles étonnamment sèches. « Alors, c’est tout ? C’est fini, comme ça ? » Peu dupe de son apparente indifférence, il amorça un geste réconfortant mais elle l’évita. « Je suppose, oui. »
the servant — how to destroy a relationship
CHAPTER FIVE ❝ one may forgive, but never forget. ❞
Ocean Grove — 2003
« Adrian ? Qu’est-ce que tu fais ici ? » La voix d’Amy était froide et posée, alors que l’adolescente arquait un sourcil parfaitement épilé. Son ex petit ami semblait mal à l’aise, mais animé d’une détermination farouche. Il s’engouffra dans la chambre d’Amy, qui s’assura d’un geste que sa robe de chambre était bien fermée et ne révélait rien de sa nuisette de soie. Il s’installa à ses côtés, comme lors de leur rupture. Amy attendit patiemment qu’il prît la parole, mais Adrian ne semblait pas pressé. Lorsqu’il ne put prétendre davantage être fasciné par ses pouces, il finit par prendre la parole. « Je te dois des excuses, Amy. Je me rends compte de l’erreur que j’ai faite en te quittant, et je regrette plus que tout d’avoir agi comme ça. » Il la toisa longuement, hésita un instant ou deux, puis murmura : « Est-ce que tu penses pouvoir me pardonner un jour pour ce que j’ai fait ? M’accorder une nouvelle chance malgré ce qui est arrivé… » Amy se fit violence pour conserver son masque d’impassibilité, et répliqua d’une voix des plus neutres : « Et Jacey ? » « J’ai rompu avec elle. Elle n’était pas… » Nouvelle hésitation. « Elle n’est pas toi. » Être sorti pendant dix ans avec la même personne comportait ses avantages, et Adrian savait clairement ce qu’il devait dire pour être sûr de faire plaisir à Amy. Celle-ci sourit, visiblement satisfaite. « Eh bien, c’est clair que je ne pourrai pas oublier comme ça ce que tu as fait, après dix ans passés ensemble… Mais tout le monde peut se tromper, l’important est que tu aies compris aujourd’hui » Elle sourit à un Adrian qui visiblement n’en croyait pas ses oreilles – de toute évidence, il s’était attendu à devoir argumenter bien plus avant d’obtenir le pardon de son ancienne petite amie. « J’accepte tes excuses, Adrian. Mais je ne veux plus que tu fréquentes ma sœur. Ni même que tu lui adresses la parole. Je veux être sûre que cette fois-ci, ça fonctionne. Je ferai tout pour… et j’espère que toi aussi. » Elle sourit à nouveau, alors que la satisfaction enflait en elle. Elle attrapa la main d’Adrian et entrelaça ses doigts avec les siens. « Tu peux faire ça pour moi ? » Un bref silence s’ensuivit, au bout duquel Adrian répondit, d’une voix ferme malgré les sentiments contradictoires qui l’habitaient : « Je te le promets. » Un nouveau sourire étira les lèvres d’Amy, qui appuya sa tête contre l’épaule d’Adrian. Dans sa tête, les plans recommençaient à fuser. Elle ne savait pas que leur relation ne durerait que quelques semaines, et qu’elle serait celle qui y mettrait fin.
« Tu es venue. », souffla Jacey, en toisant sa sœur aînée. Amy hocha la tête, et répliqua froidement : « Qu’est-ce que tu veux, Jacey ? » La cadette baissa les yeux. « M’excuser. Je me rends compte du mal que je t’ai fait, et … » « C’est plutôt facile d’avoir des regrets après s’être faite jeter comme une vieille chaussette, pas vrai ? Tu ne pourras pas dire que je ne t’avais pas prévenue. », la coupa Amy avec indifférence. Elle croisa les bras, toisant sa sœur, qui était visiblement déstabilisée. « Ecoute, Amy… J’ai fait une erreur. Une énorme erreur, et je le réalise trop tard. Mais je pensais que tu – » « Quoi, que je comprendrais ? Tu rêves, Jacey ! » Amy éclata d’un rire san joie, mais Jacey semblait déterminée à ne pas se laisser faire. « Je sais que c’est difficile et que je n’ai pas d’excuses pour ce que j’ai fait. Mais on est sœurs, Amy… » L’intéressée la coupa une nouvelle fois, toujours aussi sèchement et indifféremment. « Non, Jacey, on n’est pas sœurs. On ne l’est plus depuis le jour où je t’ai surprise avec mon copain, et où tu m’as fait comprendre que tu n’étais clairement pas décidée à y mettre un terme. On n’est plus sœurs depuis que tu as passé quelques misérables semaines à me narguer avec mon propre petit ami. Toi et moi, on n’a rien à se dire. » Amy sourit froidement. « Ceci dit, étant donné que tout ça, c’est du passé, j’accepte tes excuses. Mais cela ne change en rien l’opinion que j’ai de toi – c’est-à-dire celle d’une pauvre petite traînée écervelée. » Amy toisa longuement sa sœur, qui, visiblement, s’apprêta à répliquer, mais elle ne lui en laissa pas le temps. « Je suppose que je te verrai à la maison, donc. J’ai invité Adrian, j’espère que ça ira pour toi ? Enfin, peu importe. Bonne journée, Jacey. » Et Amy disparut, laissant derrière elle une petite sœur qui réalisait tout juste que leur relation était définitivement anéantie.
Voilà après trois mois de travail, nous vous présentons, French Kiss, Livia, Kitschounette & moi même, notre petit bébé. J'espère sincèrement qu'il est à la hauteur de vos attentes.
« Pendant que certains jouent avec les sentiments, d'autres sauvent des vies »
Aujourd'hui, il est 14h48 et pour la première fois de toute ma vie j'assiste à une Saphénectomie. Je suis assise sur un siège dans la salle d'observation située en haut de la salle d'opération, d'ici je peux tout voir. Regardez par exemple, là-bas au fond à droite, ce jeune homme qui manie à merveille le scalpel, voyant la couleur de ses yeux et la concentration avec laquelle il découpe la veine, je vous parie que c'était le meilleur de sa promo et qu'en plus, il est du genre à s'en vanter. Juste à côté nous pouvons distinguer la titulaire, comment je le sais et bien parce qu'elle est légèrement plus âgée que ceux qui sont autour d'elle. A voir sa tête, on dirait qu'elle n'a pas vraiment dormit, elle devait sans doute être trop occupée à batifoler avec le jeune homme qui est à sa gauche : un interne lui aussi. Chose très typique chez les titulaires, ils aiment la chair jeune, surtout les femmes, allez savoir pourquoi. Un peu plus loin, il y a une petite infirmière, elle n'ose pas regarder le personnel qui se trouve autour d'elle et à l'air quelque peu perdue. Elle doit surement être nouvelle ou alors elle entretient une histoire douteuse avec l'anesthésiste qui n'arrête pas de la regarder ... Vous l'aurez compris, au service de chirurgie de Menphis Wave, bien que nous sauvions des vies, entre une ventriculectomie et une brasectomie, il n'est pas rare de trouver des règlements de compte entre le personnel du service. Après tout, il y a bien une raison pour que les chirurgiens apprennent à manier les scalpels, ils aiment prétendre qu'ils sont durs, froids, prétendent qu'ils n'ont pas peur, mais la vérité, c'est qu'ils deviennent chirurgiens parce que quelque part ils pensent qu'ils pourront découper tout ce qui les hantent.
☛ Le forum compte une trentaine de postes vacants, l'ouverture VIP a eu lieu hier soir, le forum compte à présent 15 membres. Nous remercions tout ceux qui ont suivi le projet et nous espérons qu'il sera à la hauteur de vos attentes. Pour ce qui est de ce Rp hôpital, nous avons décider de mettre en place une intrigue principale qui a pour faculter de rendre acteur les membres du forum, notamment grâce à une partie flash-back. (explications) Cette intrigue sera agrémenté au fil du temps d'évènements séparés en épisodes. Le petit plus du forum, nous avons mis en place des cas de patients pour permettre d'endosser encore plus votre rôle de médecin mais aussi de pouvoir rp à plusieurs comme dans un épisode de Grey's Anatomy (exemple)
Bon et bien je crois que le tout est dit, nous espérons que vous serez nombreux et surtout actifs à nous rejoindre Pub Bazzart
Kate Franchart • C'est moi qui donne les ordres
Messages : 82 Date d'inscription : 19/04/2009
Sujet: Re: BLABLAAAAdkdkd Mer 23 Fév - 0:59
◭SWARLEYTEAM a écrit:
bonsoir à tous voilà on a ouvert notre bébé, on espère vous y voir et on vous remercie aussi pour tout les messages qu'on a pu recevoir ça nous à beaucoup encouragé pour l'ouvrir on remercie crusty reek pour son magnifique design et je remercie tout particulièrement mes quatre acolytes pour m'avoir aider à ouvrir ce forum qui me tenait à coeur.
✘ Blowing in the wind: Contexte
« à lire et à relire si nécessaire sinon vous serez perdu dans le jeu. »
Citation :
Il y a des choses qui ont si peu d'importances mais qui prennent des proportions énormes. Et d'autres qui devraient être dans le cœur de tous et qui sont ignorées sans aucune honte. Ailish Cilín Finnighan, vous le dira, là bas chez elle lorsqu'elle se promène dans les abords du village, se tenant face à la mer, sentant le vent salé s'engouffrer dans le roux de ses cheveux. Ailish vous le dira, chez elle rien d'autre n'a d'importance que la vie. Les gens ne sont pas très riches pour la plus part mais tous on du coeur. Chez elle, les choses sont simples on n'a pas besoin de tout ces artifices des grandes villes, les gens se connaissent et s'apprécient, les gens se soucient de vous ils vous demandent comment vous allez, chez elle on ne vous ignore pas. La famille Finnighan elle, n'est pas à plaindre elle se débrouille bien depuis que leur mère à eu l'excellente idée de monter une maison d'hôte. Ici on y mange bien , on y dort bien et surtout l'accueil y est irréprochable. Ici au coin de la cheminé, les flammes dansantes on se sent à a maison. C'est certainement cette ambiance qui à valut à l'a maison d'hôte Palmerstown Lodge, un article dans le irish times.
La nature dans toute sa splendeur, les bonnes valeurs de la vie. Ils sont loin de tout, ils sont sympathiques et on eu l'idée d'ouvrir il y a deux ans maintenant une maison d'hôte Palmerstown Lodge. C'est une affaire de famille, à Wicklow la famille Finnighan remplit toutes ses chambres. Dans un cadre simple et chaleureux nous retrouvons le goût des choses simples de la vie, le simple fait de se lever le matin est déjà un grand bonheur. Lorsque nous sortons de la maison une vue imprenable sur l'Océan atlantique nous coupe le souffle, les alizés nous décoiffent. C'est la vie, la vraie rythmé par les vagues se heurtant sur les rochers de la falaise. Nous espérons que Palmerstown Lodge, perdurera et redonnera le sens de la vraie vie à de nombreux touristes dont le cerveau est brouillé par les ondes de la capitale.
Quelques mois après, Wicklow est envahit de touriste, Palmerstown Lodge a une liste d'attente qui s'étale sur plus d'un mois. Le petit hôtel de la ville est lui aussi complet, c'est historique jamais on a vu autant de monde à Wicklow, certain des habitants s'en plaignent ils étaient bien content de leur petite tranquillité. Les plus jeunes eux sont content de ne pas avoir à faire des kilomètre jusqu'à Dublin pour avoir de l'activité dans leur vie. La vie n'est plus pareil à Wicklow, les touristes affluent et avec eux des entrepreneurs qui veulent faire de Wicklow une ville touristique avec des projets de thalassothérapie et d'une gamme d'hôtel de luxe.
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- nous sommes six admins foolish pleasure, soft skeletons, Red Shade, Muteen, Headlock et moi même contente de vous présenter notre petit bébé. - design par mavericksoul je la remercie encore une fois. - il y a deux groupes les habitants (our houses) et les touristes (tourist atraction) - PUB BAZZART http://palmerstown.forumgratuit.org/publicites-f52/pub-bazzart-t70.htm#1007
C'est parfait, si tu comprend déjà ça, tu peux tout comprendre :mdl: Attention, sujet assez long ;
✄ LEÇON n°1 - DÉCOUVRIR SON ESPACE DE TRAVAIL
2) LES OUTILS A présent, passons à la barre d'outils. Je t'ai fais un descriptif de chaque outil, si dessous. Les outils sont dans l'ordre, c'est a dire que le premier outil que tu vois sur l'image, c'est l'outil déplacement. Le second outil, c'est le rectangle de sélection... etc. Tout est dans l'ordre. Bonne lecture !
Outil Déplacement (V) ; comme son nom l’indique, cet outil sert à déplacer un claque. Il suffit d’enfoncer le clic droit de ta souris et de le déplacer. Tout simplement.
Outil Rectangle de sélection (M) ; il permet de sélectionner un fragment de ton calque. Sélectionne un morceau d’une image, en gardant ton clic droit enfoncer.
Outil Lasso (L) ;
- Outil Lasso ; C’est en quelque sorte le même outil que l’outil Rectangle de sélection, si ce n’est qu’au lieu de de sélectionner un morceau rectangle ou carré de ton claque, il permet de lui donner une forme libre. - Outil Lasso polygonal ; Même principe que le lasso, si ce n’est qu’il trace des traits droits tout en offrant l’avantage de faire une forme libre. - Outil Lasso magnétique ; Même principe que le lasso polygonal, faut que grâce au contraste de l’image, il pourra automatiquement se tracer sur les courbes de votre calque. N’étant pas très clair dans cette explication, je t’invite à tout de suite essayer. Tu comprendras beaucoup mieux.
Outil Sélection rapide (W) ;
- Outil Sélection rapide ; Permet de former une sélection sur toute une zone de même teinte. C’est un peu le même principe de l’Outil Lasso si ce n’est que vous n’avez qu’à cliquer dans la zone à sélectionner. Néanmoins, ce n’est pas aussi précis que le Lasso (qui lui, prend bien plus de temps, à toi de voir que tu préfères : un meilleur résultat ou un gain de temps). - Outil Baguette Magique ; Même principe que l’outil Sélection Rapide, sauf qu’il ne sélectionne qu’une zone à la fois.
Outil Recadrage (C) ; Permet de rogner un morceau de ton travail.
Outil Pipette (I) ; Sélectionne la couleur de ton choix grâce à la pipette. Tu retrouveras la couleur sélectionnée dans ta palette de couleurs (celle du premier plan).
Outil Correcteur (J) ; Souvent utilisé pour les retouches de mannequin, l’outil correcteur te permet de gommer des imperfections, masquer des cicatrices, tout en gardant la luminosité de ta photo.
Outil Pinceau (B) ; On le retrouve sous tous les logiciels de créations, même les plus basiques. Il permet de dessiner, tout simplement. Sous Photoshop, tu auras plusieurs formes de pinceau. On apprendra plus tard à créer les tiens.
Outil Tampon de duplication (S) ; semblable à l’Outil Correcteur, tu peux dupliquer une forme, un fond, un morceau d’image à l’infini.
Outil Forme historique (Y) ; je n’ai jamais su à quoi il pouvait servir. XD
Outil Gomme (E) ;
- Outil Gomme ; Comme son nom l’indique, il permet de gommer. - Outil Gomme d’arrière-plan ; Comme une zone de la même couleur. Utile lorsqu’on doit faire des découpes de personnes, et que leurs cheveux posent problèmes. - Outil Gomme magique ; Gomme instantanément une zone de même teinte.
Outil Dégradé (G) ;
- Outil Dégradé ; permet de créer des dégradés. - Outil Pot de peinture ; Rempli une zone de même teinte, de la couleur de premier-plan se trouvant dans la palette.
Outil Goutte d’eau ;
- Outil Goutte d’eau ; C’est un effet qui rend le calque flou. - Outil Netteté ; C’est un effet qui rend le calque plus net. - Outil Doigt ; C’est un effet que je ne saurais expliquer. xD
Outil Densité - (O) ;
- Outil Densité - ; Intensifie le contraste de la zone colorié. - Outil Densité +; Le contraire de l’Outil Densité -. - Outil Eponge ; Aspire les couleurs de l’image.
Outil Plume (P) ; Semblable à l’outil Lasso, il permet néanmoins de tracer des courbes qui seront remaniables plus tard. C’est plus précis, pas de risque de perdre la sélection et il permet de créer des formes originales. Un cours sera centré la dessus, plus tard.
Outil Texte (T) ;
- Outil Texte horizontal ; permet d’écrire un texte horizontalement. - Outil Texte vertical ; permet d’écrire un texte verticalement.
Outil Sélection de tracé ; outil de sélection en rapport avec l’Outil Plume.
Outil Rectangle (U) ; Permet de tracer des rectangles, mais aussi d’autres formes.
Outil Main (H) ; Permet de naviguer sur le plan de travail.
Outil Zoom (Z) ; Permet de Zoomer votre travail.
Palette de couleurs, premier-plan et arrière-plan ; Pas besoin d’explication, lorsque tu colorieras un calque, dessineras avec l’Outil Pinceau ou que tu utiliseras l’Outil Pot de peinture, ce sera de la couleur du premier-plan que tu utiliseras. Pour changer le noir par défaut, clique juste dessus et choisis parmi le sélecteur de couleurs.
Des questions?
Dernière édition par Kate Franchart le Ven 30 Mar - 9:18, édité 2 fois
Kate Franchart • C'est moi qui donne les ordres
Messages : 82 Date d'inscription : 19/04/2009
Sujet: Re: BLABLAAAAdkdkd Mar 15 Mar - 7:43
❝ Katherine Donovan❞
→ bienvenue à Santa-Barbara
PRÉNOM&NOM, présente nous ton personnage dans les grandes lignes. Donne nous son nom, son prénom, sa date de naissance et même son lieu de naissance, ses origines. On vous tous savoir, même les petits détails croustillants, comme son orientation sexuel, le nombre de partenaires qu'il a eu ou encore ses petites manies. Sa situation financière actuelle, le nombre de crédit qu'il a sur le dos ou encore l'âge de ses enfants. Donne nous des informations son ses activités, son job ou les études qu'il fait, ses capacités intellectuelles etc. sans oublier son GROUPE Un minimum de dix lignes est attendus mais si l'envie te prend de faire plus, libre à toi !
→ vous êtes votre propre histoire
un peu de vous juste à cette place ici juste votre histoire, un peu de vous juste à cette place ici juste votre histoire, un peu de vous juste à cette place ici juste votre histoire, un peu de vous juste à cette place ici juste votre histoire, un peu de vous juste à cette place ici juste votre histoire, un peu de vous juste à cette place ici juste votre histoire, un peu de vous juste à cette place ici juste votre histoire, un peu de vous juste à cette place ici juste votre histoire, un peu de vous juste à cette place ici juste votre histoire, un peu de vous juste à cette place ici juste votre histoire, un peu de vous juste à cette place ici juste votre histoire, un peu de vous juste à cette place ici juste votre histoire, un peu de vous juste à cette place ici juste votre histoire, un peu de vous juste à cette place ici juste votre histoire, un peu de vous juste à cette place ici juste votre histoire,
→ et vous alors ?
Présente-toi en quelques lignes, donne nous ton pseudo, ton prénom voir même ton âge. Où tu as connu le forum, qu'est-ce qui t'as donné envie de t'inscrire, ce que tu aimerais qui change, quel est ton avis sur le design, etc. Tu peux même nous dire le nom de ton chien ou tout simplement le nom de ton pire professeur à vie (a) N'importe quoi que tu peux penser intéressant à savoir. Bien sûr n'oublie pas le code du règlement et les crédits de vos images, ici la bannière est de Crusty Reek.
Kate Franchart • C'est moi qui donne les ordres
Messages : 82 Date d'inscription : 19/04/2009
Sujet: Re: BLABLAAAAdkdkd Mer 16 Mar - 8:47
Lily Adams-Matthews a écrit:
chapter four. stairway to heaven
La vie est un long fleuve tranquille. C'est ce qu'on dit. Mais la vérité est la, les gens partent, les gens quittent ce monde pour aller dans un monde meilleur. Il ne sert à rien de rêver sa vie, il ne sert rien de voir sa vie dans le futur. Il faut savoir la vivre. Mais c'est tellement difficile quand on y pense. Lily était souvent la à chercher sa vie, chercher sa voix. Mais comment faire quand on a pas de repères? Comment faire pour qu'on soit heureux, et comblé lorsqu'on a personne pour qui s'attarder? La vie faut la peine, mais pour ça il faut le comprendre, la vie faut la peine d'être vécue, mais c'est pareil, il faut savoir saisir la chance qu'on nous offre. C'est peut être rassoir pour certains, se dire que les hommes sont libres de leurs choix, les hommes sont libres de choisir leurs destin. Malheureusement Lily ne l'a pas encore comprit, pas tout de suite tout du moins. Mademoiselle, passait son temps à se droguer, à se donner à des plaisirs sans bornes. Être sur la sellette tout le temps, voila le train de vie de Lily. un train de vie, pour les camés, et drogués. Mais la jeune fille finit quand même ces études. Elle sort de la fac avec son diplôme en poche, elle sort de la fac avec un diplome de droit. Elle eut un doctora en droit. Elle est d'abord juriste, puis gravie les échelons en devenant avocate. La vie lui ouvre les bras, le monde est à elle, et elle peut tout conquérir. Seulement à San Diego, la ou elle était, elle ne trouvait pas de boulot, elle ne trouvait pas ce qu'elle voulait. Elle se sentait rabaisser, ne faisant à peine ce qu'elle faisait, dans la compétence de ces moyens. Elle décide de démissionner, et chercher du boulot par son propre moyen.
chapter five. It's always you and me
Oui, je veux. Une promesse, celle de l'amour, de l'infinie. Elle venait d'offrir son cœur, son âme à cet homme. Un homme qu'elle aimait tant. Ils se sont rencontrés par pur hasard. Et c'était le coup de foudre tout de suite. Ils passaient le plus clair de leur temps ensemble. Toujours l'un avec l'autre. Lorsqu'on voyait Julian, on voyait toujours Lily avec lui. Julian Matthews, c'était son nom de famille. Une romance s'était installé. Il lui avait fait la cours alors qu'elle ne lui demandait rien. Il fut charmant et charmeur. Il était un homme très courageux. Leur couple était bien plus solide que n'importe quoi. Ils avaient finis par s'installer ensemble, à Santa Barbara. Ils se sentaient bien la bas. Pour tout le monde s'était précipité mais pas pour eux. L'amour se vit maintenant. Il n'y a pas de frontière dans l'amour, ni de temps. Il faut juste le vivre. Elle avait enfin un cabinet génial dans la ville de Santa Barbara. Elle faisait le métier qui lui plaisait, elle était devenue avocate. Julian exercé dans la police. Il faisait parti d'un groupe fermé. Comme tout bon roman, si il faut l'apprécier, il doit avoir une chute à la fin. J'aurais voulu ne pas écrire ces lignes aujourd'hui. Cet homme plus courageux que n'importe qui vient de périr dans un règlement de compte qui s'est mal passé. Encore un décédé. La mort d'un proche est bien trop dur, encore plus lorsque c'est notre âme soeur. On dit souvent que lorsqu'une personne meurt, elle donne le flambeau à un nouveau né ...
chapter six. live fast, die young
Si tu as envie de pleurer, pleure, si tu as envie de crier ou de dire à quel point tu détestes la vie fait le. Ne pense pas aux autres, ne rêve pas ta vie. Vie la, et à fond. Ne pense pas que tu dois te retenir par rapports aux autres. Je veux que tu vives ta vie, je veux que tu sois ma plume, ma plume qui est comme une arme pour affronter la vie. Je veux que tu penses à toi, je ne t'oublierais jamais. Je ne le peux pas, je ne veux pas. Je suis avec toi, à travers ton cœur, à travers tes mots. Je serais toujours la, à chacun de tes pas. Je t'aime, je sais que quand tu regardera ça, je ne serais plus la. Mais je sais que tu es forte, je sais que tu vas faire de grande chose. La vie, c'est une épreuve, tout simplement. La vie c'est uniquement une succession de bon et de mauvais choix. Qu'importe les choix que tu fais, je sais que tu t'adaptera. La vie est belle, et c'est toi qui me la montrer. Alors montre la aux autres aussi. Voila sa vie est lancée, mais qu'adviendra il de ces blessures? Sa vie professionnelle est bien lancée, mais sa vie émotionnelle, sa vie au delà des apparences, on sait finalement pas ce que ressent Lily, on sait pas ce qu'elle veut, on sait pas ce qu'elle ressent, et c'est peut être ça le pire. (...)
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Sujet: Re: BLABLAAAAdkdkd
BLABLAAAAdkdkd
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